Picture courtesy of Zurich Tourist Board

CAMS (Corporate Advice and Management Services) est une société suisse basée à Canton de Berne et fondée par des professionnels qui, avec leur équipe d'experts-conseils, s'étaient rendu compte d'un besoin réel du marché, c'est-à-dire que bon nombre d'entreprises avaient besoin d'assistance lorsqu'il s'agissait de faire le point de leur situation. Nous proposons à ces entreprises la possibilité de se rationaliser, de se réorganiser, de diversifier en cherchant de nouveaux marché pour leurs produits, ou bien de participer à des entreprises communes avec des associés présentés par CAMS au client pour exploiter universellement un nouveau marché ou un nouveau produit.

Pour bien comprendre l'histoire de l'entreprise cliente, la place qu'elle occupe actuellement sur le marché, ainsi que les objectifs et les perspectives qu'elle s'est fixés pour l'avenir, nous demandons à tous nos clients de nous renseigner le plus amplement possible sur leur organisation et les produits ou les services qu'ils proposent. Nous analysons ensuite ces informations afin d'indiquer en toute sincérité au client si, oui ou non, nous sommes en mesure de contribuer à son domaine d'activités et, si c'est le cas, de procéder au premier examen des options possibles.

Après ces conseils préliminaires, nous examinons l'intérêt de chacune de ces options par rapport aux questions de rationalisation, de diversification et d'expansion. Nous procèderons ensuite à des recherches plus approfondies dans le domaine sélectionné afin de déterminer quelles sont les méthodes qui pourront être adoptées pour atteindre les buts communs que nous nous aurons fixés. Il pourrait s'agir de l'affectation de certains membres de notre équipe à votre entreprise; dans certains cas, ces personnes-là pourraient provenir d'une entreprise extérieure choisie pour travailler avec nous.

Nous serions toujours disposés à établir un rapport contractuel avec nos entreprises clientes (cela, le cas échéant, par moyen d'une société extérieure que nous vous aurions présentée) pour entreprendre une activité commune ou bien pour servir de concessionnaire en mesure de promouvoir vos produits ou vos services en les dévelopant et en trouvant de nouveaux marchés. Dans le cas d'une telle entreprise commune, nous chercherions à créer une société indépendante pour exploiter ces nouveaux marchés, ces nouveaux produits, ces nouveaux services; ou bien, à travailler par contrats individuels dans le cas des services que nous aurions pris en charge. Nos clients peuvent nous rémunérer par moyen de paiment fixe et déboursement négotiés à l'avance, ou bien par moyen d'un pourcentage sur la rentabilité, en termes de gains brut ou net, des résultats de l'entreprise à laquelle nous nous serions engagés ensemble.

Nous établirions aussi des accords d'exclusivité et de confidentialité pour nous protéger mutuellement et pour conserver nos droits mutuels de divulguer l'un à l'autre les détails financiers des opérations de l'entreprise cliente afin d'évaluer les résultats de nos services et les progrès que nous aurions faits au cas d'un projet commun ou d'un accord consultatif, et pour faciliter le calcul de notre commission à partir des bénéfices communs.

C'est la question bien évidente que vous devez vous poser. Pour vous aider à y répondre, nous étudierons ici cinq cas bien spécifiques dans lesquels CAMS a pu donner des conseils à des entreprises engagées à diverses activités dans des situations bien différentes.

Un fabricant d'articles en cuir italien se retrouvait confronté par des marges commerciales en baisse progressive et subissait des pressions financières dues à une hausse des prix du personnel et de la sécurité sociale.

Dans le cas des articles italiens les plus coûteux, nous avons conseillé au client d'en limiter le nombre qu'il fabriquait et d'en externaliser la production en Tunisie. Une société indépendante avec des associés externes a été fondée dans le but d'acquérir cette production externalisée et de vendre les articles directement au fabricant italien. Les bénéfices obtenus grâce à l'acquisition de ce produit moins coûteux ont été retenus par la nouvelle société, cela dans le but de permettre de futurs développements et la possibilité d'établir par la suite un système de particpation aux bénéfices entre les sociétés concernées. Ultérieurement, une société indépendante européenne, chargée du service des ventes et enregistrée séparément à la TVA, a été établie afin de permettre au client d'exploiter de nouveaux marchés, suivant les conseils de CAMS; cette société a véhiculé la plupart des ventes d'exportation. Au bout du compte, le client a pu se débarrasser en grande partie de sa base industrielle et est devenu un véritable concessionnaire de commerce international qui, grâce à divers véhicules de commerce, a pu réduire en petites quantités sa main d'oeuvre et se débarrasser de locaux dont il n'avait plus besoin.

Un fabricant de mobilier italien s'était retrouvé victime d'un marché italien très faible et ne disposait pas des ressources linguistiques nécessaires pour exploiter de manière efficace le marché de l'Union européenne.

Après avoir examiné les méthodes de production du client et étudié le marché belge/luxembourgois, CAMS a conseillé au client de simplifier son produit en le rendant moins orné, et a trouvé un détaillant en mesure de le vendre. Le détaillant a fondé avec le fabricant italien une société d'import-export, et les deux partis bénéficient aujourd'hui d'une entreprise commune très rentable par laquelle ils fournissent des mobiliers italiens à d'autres détaillants dans les pays du Bénélux.

Une entreprise de transport routier belge cherchait à étendre ses activités sur les pays de l'Union européenne et demandait des conseils par rapport à ses opérations et aux possibilités de commercialisation de ses services.

Après avoir examiné les possibilités qui existaient pour la distinguer des autres entreprises de transports, CAMS a conseillé à l'entreprise de réduire son parc automobile et de viser des contrats spécialisés tels que le transport des déchets toxiques. À cet effet, une société indépendante à été fondé comme garantie pour le cas où cette entreprise n'aurait pas réussi. En même temps, les nouvelles taxes sur les camions en Grande Bretagne ont eu pour conséquence une augmentation des frais nécessaires pour utiliser des véhicules immatriculés en Grande Bretagne par rapport aux véhicules immatriculés à l'étranger. Une société européenne a été fondée dans le but de louer des véhicules auprès d'une compagnie belge, qui à son tour a donné les véhicules en location à des entreprises de transports britanniques. Ceci a permis de faire usage des camions supplémentaires en les donnant en location à d'autres entreprises, et d'accumuler les bénéfices sur le compte d'une autre société européenne afin de permettre de nouveaux développements et l'accumulation et la répartition des bénéfices en dehors de la Belgique et du Royaume uni.

On avait offert à un informaticien spécialiste suédois un poste d'expert-conseil pour 6 mois au bureau français d'une société américaine engagée au problème de l'an 2000. Le client réalisait en même temps d'autres contrats, et avait besoin de conseils pour organiser son planning afin de rentabiliser ses activités.

CAMS a fondé une société européenne intermédiaire pour que celle-ci engage le client suédois avant d'établir un rapport contractuel avec la société américaine et deux autres compagnies qui souhaitaient s'adjoindre les services de l'informaticien suédois par moyen de ce nouveau véhicule. Ce dernier, permettant de réduire au minimum la proportion des bénéfices perdue en impôts, sert aujourd'hui à véhiculer l'exploitation de nouveaux contrats avec l'engagement de nouveaux consultants en informatique; l'accumulation des bénéfices s'effectue alors sur le compte d'une société exonérée des impôts suédois.

Une compagnie de navigation belge souhaitait s'unir à d'autres affréteurs dans le monde en vue d'établir une entreprise engagée à acheter des contrats de la charte-partie avec des conditions le plus intéressantes possible.

CAMS a établi une société de commerce international (SCI) et, avec le client, s'est adressé à d'autres compagnies de navigation dans le but d'établir un syndicat sous les auspices de la SCI et d'obtenir des contrats de la charte-partie avec des conditions le plus intéressantes possible. Par la suite, la SCI a acquis ce syndicat et l'a revendu à profit aux compagnies participantes. La SCI en a retenu les bénéfices pour financer des contrats futurs et pour développer ses capacités de commerce en vue d'établir ultérieurement un système de participation aux bénéfices entre les compagnies participantes.